LE PARRAINAGE COLLECTIF DES ECOLES PRIMAIRES

Suite à une demande en 2004 du chef du village nous avons pris en charge le parrainage de la totalité des élèves du village de Yaïka à raison de 50% des frais de scolarité. De plus en plus, grâce à cette aide, les parents inscrivent leurs enfants à l’école.

En 2003 il y avait 150 enfants scolarisés dans trois classes. Suite à notre intervention auprès du ministère de l'éducation nous avons obtenu en 2005 la normalisation de l'école soit 3 classes supplémentaires afin qu'il y ait une classe par niveau et un professeur par classe.

 

Il y  avaitt 620 élèves en 2011-2012 répartis dans quinze classes.

Un nouveau découpage administratif nous empèche maintenant de nous occcuper de l'école du quartier de Condombouli ( cette école est maintenant fonctionelle)

Une nouvelle école a été crée ( classe paillotte) avec un cours préparatoire et nous allons prendre en charge la réalisation de ce nouveau projet..

Une seconde classe paillotte a été ouverte à la rentrée 2014-2015

Il y a donc maintenant 450 élèves du village dans les différentes écoles 

 

Il n’est pas possible de parrainer individuellement en primaire mais vos dons permettent d’aider plusieurs familles à scolariser leurs enfants ( et en partculier les filles, cantonnées jusqu'à la à aider leur mère pour la corvée d'eau, la collecte du bois, la confection des repas, etc). L’effort des parents est très important, les villageois sont très pauvres et n’ont en général pas de revenus.

La principale activité est l’agriculture mais les faibles rendements ne permettent pas de vendre une partie de la production et de se procurer un revenu.

 

La scolarité d’un enfant de primaire coûte 3500 francs Cfa soit environ 5.5€/an. Nous donnons donc la moitié et un peu plus pour l’aménagement des écoles et les fournitures des enseignants.

 

Depuis cinq ans nous prenons entièrement en charge les cantines des trois écoles ( des cuiseus à bois économes y ont été construits pour faciliter le travail des cantinières et avoir un moindre impact sur la désertification) et les élèves mangent " à leur faim" tous les midis.